Vous connaissez certainement cette citation de Salvadore Dali : « Celui qui sait déguster ne boit plus jamais de vin, mais il goûte ses suaves secrets. » 

Elle illustre à merveille les excellentes notes de dégustation attribuées à mon Cinsault, millésime après millésime, par l’équipe de Jancis Robinson.

A ce propos, je tiens à remercier Stewart et Jean-Michel.

Je vous invite à découvrir la traduction de l’article de la journaliste Tamlyn Curin paru cet été : 

« Si vous avez déjà cueilli des tomates cerises et des prunes parfaitement mûres et que vous les avez rôties doucement, pas trop, au four avec quelques brins de thym et de romarin, et assaisonnées avec un peu d’huile d’olive, du poivre noir, de l’aneth frais, un zeste de citron, du sel, alors vous savez peut-être où ce vin va vous emmener. Il est doux mais pas sucré. Il est acidulé mais fin. Ses tanins ressemblent aux feuilles et aux tiges de romarin et de thym ; son acidité est comme du satin. Il a le piquant du poivre, la longueur en bouche du sel, le vert de fer de la tomate en grappe. Accompagnez-le d’un fromage de chèvre salé ou d’une simple salade de tomates mûres de saison et de basilic.

Le Cinsault d’Yves FALMET est une merveille ! «